Carte du Monde
Quoi de plus classique, pour un auteur de fantasy, que de dessiner des cartes et autres plans de châteaux? Ce monde sorti de nulle part (d'un cerveau malade, peut-être?) est assez rudimentaire, mais je n'en suis pas mécontente.
Vous me direz : ça manque de continents. Pas d'inquiétude, il est bien assez vaste pour qu'il s'y passe de vilaines choses...
Notre récit débute en son centre : le désert de Khull, un vrai four, très inhospitalier, mais dont les habitants ne manquent pas de finesse (dans les arts comme dans la cruauté).
Isthmir, à l'ouest, pourrait être un équivalent de notre bonne vieille Europe médiévale (dans les terres), mais quelques avancées technologiques de la capitale et la liberté de mœurs de la cour pourraient évoquer les grandes heures de Versailles... (ou pas?)
Urkan et Kizefgurg, à l'est, sont des royaumes puissants, pleins de ressources et peuplés de fiers et grands gaillards. Le climat y est rude. Leurs habitants, qui glorifient la force et la guerre, ne le sont pas moins.
La plaine des torglaths, malgré ses allures de paisible prairie, est impraticable pour l'homme. D'horribles créatures s'y terrent.
Je préfère, pour l'heure, ne pas trop m'étendre sur la péninsule de Stern (sachez seulement que l'adjectif "brumeux" qualifie à merveille ce royaume isolé) ni sur l'île de Tsan, aux mœurs et aux croyances pour le moins... curieuses? (Des tribus cannibales y subsistent, dit-on...?)
Enfin, les marais d'Urkan demeurent la grande inconnue de ce territoire. L'homme ne peut y vivre sans succomber promptement à son atmosphère gorgée de miasmes... (Mais un si vaste lieu saurait-il être dénué de vie?...)
Enfin, les marais d'Urkan demeurent la grande inconnue de ce territoire. L'homme ne peut y vivre sans succomber promptement à son atmosphère gorgée de miasmes... (Mais un si vaste lieu saurait-il être dénué de vie?...)
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